Meilleure marque de croquettes, besoins nutritionnels, enquête sur un sujet polémique

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Il existe bel et bien une croquette possédant les ingrédients répondant aux normes physiologiques du chat. Sur le site, je n’ai pas pour habitude de parler de croquettes… En bien. Cette fois-ci, l’exception confirme la règle que je me suis fixée. Parce que quand on vit avec un chat, on n’a pas forcément le luxe de pouvoir consacrer son temps au BARF, comme moi. J’ai pu par ailleurs trouver la marque la plus transparente du marché.

 

Avis totalement libre sans aucune contrepartie financière.
Mis à jour le 11/12/2023

Meilleure croquette pour chat

croquettes amikinos

Amikinos

7% de glucides (juste géééénial)

Cette croquette contient les ingrédients nécessaires dans un monde normal. Beaucoup de viande, pas de matières végétales. Très peu de glucides. Bref… La panacée pour un carnivore strict comme le chat.

Pourquoi la croquette Amikinos est la meilleure du monde ? Tout simplement parce que ses ingrédients répondent au régime du chat. Dans la nature, le félin mange des proies : tout y passe… Lapins, écureuils, souris et tous les rongeurs que l’on peut imaginer. Éventuellement des insectes et du poisson. Très rarement des fruits trouvés sur le sol. Oui, cela s’est observé.

En milieu hostile, un prédateur est opportuniste… Et parfois bizarre. En tant que carnivore, le chat possède des mâchoires adaptées à l’attaque. Son système digestif est court. Il ne permet pas la digestion saine de céréales. Son bol alimentaire est donc constitué quasi-exclusivement de protéines animales.

Alors… Comment Amikinos s’est arrangé pour imiter la nature ? Le dilemme essentiel résidait dans la façon de produire la croquette. En effet, normalement cela nécessite l’apport d’amidon. Composant indispensable pour façonner la croquette. D’où sa teneur trop riche en sucre qui fait justement polémique. On la retrouve dans la céréale et la pomme de terre. En lisant la composition, on tombe là aussi sur la pomme de terre. Mais comment diantre ont-il fait alors pour limiter le taux de glucide à moins de 8%, chiffre exceptionnel.

Je les ai contacté et ils m’ont tout expliqué… L’idée de génie d’Amikinos est d’avoir utilisé de la pomme de terre… Douce ! Ce tubercule présente un index glycémique largement plus favorable que n’importe quel autre pomme de terre classique ou la céréale. Eh… C’est pas pour rien qu’on l’a érigé en aliment minceur. Lorsqu’elle est associée à la viande, le taux de glycémie avance d’autant plus lentement. Donc, un avantage supplémentaire. Voilà !

Les protéines animales représentent plus de la moitié des ingrédients. Le FOS-MOS et le psyllium améliorent la flore intestinale (même chez nous les humains pour le psyllium). Et enfin, tout dernier point, mais non des moindres. C’est bien joli d’ajouter de la viande en quantité suffisante… Mais quelle est sa qualité ? À ce niveau, le fabricant Deux-Sévrien a un cahier de charge au top.

Son exigence repose d’abord sur l’exclusion de fruits, légumes et autres sources végétales. Les points énumérés concernant l’absence d’OGM et les normes de consommation humaine reflètent surtout une approche marketing. Eh oui… C’est la législation qui oblige les fabricants à ne pas en mettre. Dans le cas contraire, ils doivent l’indiquer. Même chose pour l’origine de la viande. Celle des animaux de compagnie provient toujours des usines destinées à la distribution humaine. Les parties non utilisées sont ensuite recyclées. Tous les détails sont à lire sur cette page.

Notez que si vous passez par mon lien, je ne toucherai aucune commission. Vous pouvez donc accéder par vos propres moyens sur le site si vous voulez. Je tiens également à souligner que je n’ai reçu aucune contrepartie financière de la part d’Amikinos. J’ai entamé cette démarche de façon personnelle.

Bon après hein… Ça reste une croquette. C’est pas magique. Même si je loue la démarche salutaire d’Amikinos, ils sont loin d’être parfait sur le plan nutritionnel. Pour aller plus loin, regarder la vidéo qu’a publiée The Little Carnivore.

Mon temps, je l’ai mis à profit pour vous permettre d’en gagner…Et à ce titre, cela m’a permis de comprendre ce qu’impliquait l’apport des différents ingrédients que l’on retrouve, ce que cachait la plupart des marques qui les utilisent. Par ailleurs, j’ai pu déterminer quelle était le fabricant le plus sérieux et le plus éthique. Le BARF m’a offert un avantage en enquêtant sur les croquettes… Celui d’être exigeant en termes de qualité, me donnant l’opportunité de vous conseiller la meilleure gamme de produits.


 

Fethi Hachemi wanekat mon guide felin

Qui suis-je ?

Depuis que j’ai un chat, je m’intéresse à son comportement et aux notions de territoire félin. Avec le site, j’ai pu développer au fil des années une expertise sur l’arbre à chat qui s’enrichit régulièrement.

En savoir plus.

Comment on produit une croquette

Lorsqu’on évoque les croquettes, il serait intéressant de savoir déjà comment les industriels les produisent, n’est-ce-pas ?

Il faut donc poser préalablement les bases. Vous pourrez vous faire ainsi une idée claire des enjeux alimentaires de votre chat. Loin de moi l’idée de vous culpabiliser… Bien au contraire.

L’aspect fondamental réside dans la connaissance. Pour que vous sachiez exactement ce que vous donnez à votre animal. On présente ici la production d’une croquette classique. Il existe quelques rares exceptions avec des marques ayant recours à un mode de fabrication plus qualitatif. 

  • La croquette possède généralement un déséquilibre nutritionnel flagrant
  • Peu de protéines animales
  • Trop de glucides
  • D’importantes quantités de légumes et/ou de fruits

 

Matières premières

La protéine animale exploitée consiste à utiliser les éléments de boucherie jetés par les industriels de l’agro-alimentaire. À savoir les carcasses. Broyées, cuites et séchées. Il s’agit de tous les morceaux que l’on a dégagé du circuit de la consommation humaine. Sabot, plumes, ossatures, abats divers.

L’ensemble est réduit en poudre et chauffé à haute température. C’est ce qui constitue la farine animale. Tout cela est conforme à la règlementation. Oui… Vous pouvez aller vomir. Je vous attends….


 

Cuisson

Ça y est ? Bien. Reprenons. Du fait de la cuisson à haute température des protéines et des céréales, celles-ci vont connaître une dégradation de leur qualité. Lorsqu’elle est chauffée, elles subissent ce que l’on nomme «réaction de Maillard».

Lors de ce processus, les grosses molécules se transforment en acrylamide, une substance augmentant le risque de cancer, comme le mentionne l’EFSA, organe de l’Union Européenne. Notez que le danger touche également la nourriture humaine…


 

Mycotoxines

Un laboratoire indépendant en Belgique ayant analysé différentes gammes de croquettes, y a détecté la présence de mycotoxines. Il s’agit d’une moisissure se formant dans les céréales et les denrées destinées à l’alimentation animale, si cette dernière y a été exposée. Le procédé de cuisson n’empêche pas de se débarrasser de la mycotoxine.

La réglementation prévoit bien ce cas de figure, mais seulement sous forme de recommandation. Elle encourage sans l’interdire, à ne pas dépasser un certain taux. Les chiffres donnés par le laboratoire à première vue peuvent être rassurants, dans la mesure où ils sont inférieurs à la limite établie. Cependant, le fait que les animaux y soient régulièrement exposés représente un danger potentiel.


 

Besoins nutritionnels du chat

Le chat a des besoins reposant sur 4 grandes classes de nutriments indispensables.

Protéines + Lipides + Minéraux + Vitamines

Pourquoi une absence des glucides ? En tant qu’hyper-carnivore le glucide en apport extérieur ne lui est pratiquement d’aucune utilité. Étant présente dans des quantités infimes dans une proie, on peut supposer qu’ils jouent un rôle mais uniquement dans cette proportion.

Le chat peut en effet synthétiser ses propres glucides à partir des protéines. On appelle ce mécanisme biochimique la néoglucogénèse.

Néoglucogénèse

Cette activité métabolique se déroule également chez l’Homme, quasiment en permanence. Elle connaît cependant une intensification, en cas de réduction partielle ou totale des apports en glucides (en cas de jeûne volontaire par exemple). Elle lui permet de puiser en interne, l’énergie nécessaire au bon fonctionnement des cellules.

Ainsi, la néoglucogénèse ne fait pas obstacle au statut carnivore du chat, puisque cette voie lui attribue naturellement les glucides en quantité suffisante, sans qu’il ait besoin d’en prélever à l’extérieur. On en déduira que céréales, pomme de terre et fruit sont inadaptés au régime alimentaire félin, dans les proportions habituellement identifiées dans les croquettes classiques. C’est pourquoi l’assimilation régulière de sucre peut entrainer les maladies chroniques.

Si vous êtes face à un dilemme, car les croquettes possèdent un aspect pratique, privilégiez les marques proposant le minimum de glucides. Pour calculer ce taux, faîtes comme Gilles Vouillon (extrait du documentaire « Quelles croquettes pour nos bêtes »)… Sortez la calculette. Et si vous avez le budget adéquat, offrez à votre chat une croquette de grande qualité comme celle d’Amikinos.

Autres nutriments

Concernant les vitamines et les minéraux, là aucun soucis. Qu’elles soient de bonne ou de mauvaise qualité, les fabricants en rajoutent. À un détail près… Ce type de nutriment perd de la valeur, tout au long du processus de transformation des matières premières. La cuisson à haute température va altérer forcément les précieuses molécules. Comme la protéine du reste.

Le point en revanche sur lequel je souhaitais insister, et vous donner les clefs de compréhension, tient en deux mots… Acides aminés. J’ignore si vous êtes familiarisés avec le jargon issu de la biologie, je vais donc vous expliquer très clairement les éléments à retenir.

Acide aminés et protéines

Les protéines sont de grandes molécules. À l’image d’un train nécessitant des wagons pour être complet, les protéines elles, se composent d’acides aminées. Vous saisissez l’idée ?

besoin du chat nature acides aminees

Lorsqu’on lit les ingrédients d’un paquet de croquettes, il est généralement indiqué la présence de céréales, de légumes et de diverses autres matières végétales. Prenons un cas concret avec la composition nutritionnelle de la marque Friskies. 

composition nutritionnelle ingredients croquettes friskies
Crédits : Purina

Il semble rassurant de voir qu’il y a 30% de protéines. Ce que la marque omet de dire c’est qu’il s’agit de protéines animales associées à des protéines végétales. Ce détail a toute son importance, dans la mesure où chacune possède une valeur nutritionnelle complètement différente.

Regardez le tableau ci-dessous, sans chercher à comprendre les détails… Rassurez-vous, je ne suis pas biologiste. Contentez-vous comme moi de prendre note du score élevé des protéines animales. Dernier point au sujet des protéines… Un docteur vétérinaire a publié un mémoire complet consacré à la nutrition du chat et du chien, destiné à constituer une documentation pratique pour ses confrères. L’aspect le plus intéressant concerne là aussi la valeur nutritionnelle des différents acides aminées. 

Cliquer sur l’image pour l’agrandir
valeur nutritionnelle des acides aminees
Crédits : vetbrain / Dr Sébastien Lefebvre, P. 36

L’indice fondamental figure dans la distribution des différents acides aminés inscrits verticalement. Remarquez la valeur de ces derniers lorsqu’ils sont issus des céréales ou de la pomme de terre. Les parties blanches et grises claires démontrent à quel point leur capital est nettement inférieur par rapport aux viandes et aux abats. Les protéines animales quant à elles permettent d’apporter la totalité des acides aminés et comportent d’autre part, une plus grande valeur nutritionnelle.

Il est remarquable que seuls les produits d’origine animale couvrent complètement au moins deux fois le besoin en chacun des acides aminés essentiels. Les produits d’origine végétale ne contiennent pas suffisamment d’acides aminés par rapport à leur énergie.

Moralité : vous laissez pas embobiner par les marchands de croquettes bourrées de céréales et de légumineuses. Vous voilà désormais informé ! Ce sujet à propos des multiples ingrédients que l’on retrouve dans l’alimentation des animaux de compagnie, devait finir par en alerter plus d’un… Cela a créé une polémique vue sur internet… Et à la télé.


 

Polémique autour des croquettes

Débats, critique, insultes, procès…

En m’attaquant au sujet des croquettes pour chat – et dans une certaine mesure à celle du chien, puisque ça revient au même – je me suis aperçu que je me rendais sur un terrain chaotique.

Les questions liées à la nourriture animale – sans parler de celle des humains – sont complexes, parce qu’elles impliquent des éléments scientifiques pointus. Chacun à son niveau y apporte son lot de réaction…

  • articles à charge
  • attaques ad hominem
  • livres, documentaires, émissions
  • des dizaines de discussions sur les forums

On assiste à des échanges houleux sur les réseaux sociaux et la toile. Très vite, 2 camps semblent se mettre en place : les « pro-croquettes » – les « anti-croquettes ». Un peu comme sur le sujet du covid-19 et du vaccin… Les nuances semblent s’effacer à la faveur d’un parti pris.

Les passions s’exacerbent, l’insulte et la diffamation s’engagent, les approximations et le terrorisme intellectuel se développent, pour terminer devant les tribunaux…

C’est ce qu’a connu Gilles Vouillon. Ce professeur d’EPS ayant décidé un beau jour de partager ses connaissances au sujet des ingrédients des croquettes, en créant un groupe sur Facebook.

 

gilles vouillon

Sans le savoir, je nourrissais très mal ma chienne depuis plus de 12 ans.

France Télévisions. (n.d.). Quelles croquettes pour nos bêtes ?

Avec plus de 100000 membres, il a suscité des réactions vives. De la part d’influenceurs, de trolls, des industries, de certains vétérinaires, etc. Il a même été attaqué en justice. On ne s’attaque pas impunément à un marché pesant des milliards d’euros… Loin de moi l’idée de m’engager dans une longue lutte pour les uns ou les autres, en publiant sans arrêt sur le sujet (je n’ai publié que 2 articles sur ce thème). Même s’il est vrai que je suis solidaire d’une façon générale avec les actions qu’a menées Gilles Vouillon, et que j’assume par conséquent sa défense. Toujours avec David, plutôt qu’avec Goliath.

Quoi qu’il en soit, on assiste à une contre-attaque depuis la diffusion du documentaire « Quelles croquettes pour nos bêtes », puis de la publication du tableau de G. Vouillon, destiné à classer les marques selon leur taux de glucides. Contre-attaques constituées par les nombreuses vidéos, sites web et réseau sociaux, créés (notamment ou exclusivement) dans le but de fournir une réponse aux critiques. D’après l’intéressé, le blog de D. Dehon cacherait même un conflit d’intérêt (indiqué ici), avec l’industriel Virbac. Précisons que la personne concernée n’a jamais infirmer ou confirmer cette déclaration (à moins qu’elle ne le fasse ici).

Bref, j’ai décidé de suivre toute cette polémique d’un regard lointain, mon choix s’étant orienté depuis longtemps vers le BARF. Mon seul soucis consiste à donner mes opinions mais surtout à prendre conscience que l’alimentation animale s’inscrit en réalité dans un cadre bien plus grand. C’est ce que je souhaite vous partager, si vous voulez bien suivre mes réflexions. 

 

Au-delà des croquettes…

Lorsqu’on voit un cheval dans son box, se demande-t-on si on doit lui donner un picotin d’avoine ou du filet fraîchement découpé d’une carcasse de boeuf ? Vous avez la réponse, je ne m’inquiète pas. Pourtant malgré cela, on ne se prive pas de rompre cette règle, du moins avec des animaux d’élevage comme la vache. Durant combien d’années a-t-on fourni à ces ruminants de la farine animale ?

Les pouvoirs publics se sont-ils demandés s’il n’ y avait pas un problème éthique, voire sanitaire ? On connaît le résultat avec la maladie de la vache folle. Même si effectivement, on se saura jamais véritablement l’origine de la maladie. On a malgré cette incertitude supprimé les farines animales, par suspicion… Réintroduit depuis 2011 pour certaines catégories d’élevage.

Comme l’a dit Claude Bourguignon, les Hommes sont fous. Ils vous faut savoir que lorsqu’il s’agit d’alimentation, notre société est prête à tout. Si je vous dis qu’on a même essayé de créer des oeufs carrés, me croiriez-vous ? 

Le progrès, parce que vous comprenez… on se sent plus malin que la Nature. À l’image des oeufs carrés parce que c’est plus facile à ranger, les croquettes elles, sont plus faciles à stocker. Lorsqu’on est à ce point disposé à changer toutes les règles de la nature et de transformer notre alimentation, ne soyez donc pas surpris que cela touche également celle du chat et de nos animaux de compagnie.

Les oeufs carrés c’est peut-être anecdotique, puis chais pas… c’est rigolo. Mais c’est surtout comprendre là où on veut nous amener.

En résumé

En brossant ce tableau, pas très reluisant de notre mode de production, je voulais surtout attirer votre attention sur le cadre général dans lequel s’inscrit le sujet des croquettes. Oui, je le sens que j’ai plombé l’ambiance, mais il était important de savoir d’où on parlait. Si l’alimentation humaine est à ce point sujet à polémique, je vous laisse imaginer quelle peut être la qualité de celle de nos animaux de compagnie. 

Ma bonne foi et ma franchise me poussent à vous mettre en garde sur les croquettes. Sachez qu’elles n’ont qu’une qualité : celle de vous simplifier la vie. Elles se conservent mieux, sont plus faciles à servir et sont de moindre coût (quoique…). C’est tout. Mais elles ne sont pas adaptées à la physiologie alimentaire du chat. Si je devais aller plus loin dans le raisonnement, je dirai que la seule alimentation valable pour un animal, est celle qu’il trouvera dans la nature. Mais à l’impossible, nul n’est tenu…

Il faut juste s’en rapprocher le plus possible avec les moyens du bord, tout en sachant qu’on ne pourra jamais l’atteindre. C’est pour cette raison qu’avec le temps, j’ai pensé qu’il était important de conseiller une marque alternative, qui puisse malgré tout, apporter de la qualité nutritionnelle à votre chat.


 

En conclusion

  • Je vous incite malgré tout à alterner avec la nourriture humide, si vous en avez la possibilité. 
  • Pensez également à fournir abondamment de l’eau fraîche à votre chat. La meilleure croquette ne doit pas limiter les bons gestes.

 

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2 commentaires

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