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Mon chat est compliqué. Parce que c’est un chat. Et parce qu’il a besoin que je le protège des parasites.
Oui mais, voilà… Je suis plutôt adepte des produits naturels. Or, si vous avez déjà testé ce type d’antiparasitaires, il est notable de constater souvent un échec patent. Ce fut mon cas. Quoique, attendez…
En réalité j’ai connu des échecs quelque soit le caractère naturel ou chimique du produit. Voyons comment je m’en suis sorti et profitez de ma propre expérience pour faire vos propres choix.
La méthode de diffusion
Bon, j’vais pas vous faire tout l’historique de l’antiparasitaire et son de but. Vous le connaissez.
Ce que vous souhaitez savoir, c’est comment vous débarrasser des puces et autres bestioles, qui vont polluer à la fois l’organisme de votre animal et votre intérieur.
Chaque expérience étant particulière selon le contexte de chacun, je vous invite non à privilégier certaines molécules, mais plutôt à découvrir ce qu’il existe. On va faire ça, en voyant comment moi j’ai agi.
Je me suis largement inspiré des Anti-puces et tiques pour chat sur un site vétérinaire, parce qu’il propose toute une gamme permettant de varier le choix. Ses articles concernant le domaine naturel montrent un intérêt, dans la mesure où ils répondent à mes attentes.
Pipette
Méthode la plus courante. Qu’il contienne un produit naturel ou pas, ce mode permet de répandre les molécules sur le poil du chat, au-dessus de la nuque. Lequel va ensuite pouvoir se diffuser progressivement.
J’ai commencé avec ce genre de produit. Ce fut un échec total. Pourquoi ?
Pour deux raisons fondamentales.
Mon chat était déjà envahi. La pauvre bête souffrait sniff… Elle se grattait sans arrêt. C’était une torture, d’autant plus que mes enfants aussi commençaient à se faire piquer. Notre maison avait était contaminée…
Je vous fait grâce des engueulades avec ma moitié sur la mise en cause de mes responsabilités… Hum. C’était compliqué. Car je devais à la fois trouver des solutions domestiques pour nettoyer les dégâts et m’occuper de mon chat, pour qu’il soit enfin débarrassé de ses parasites.
Alors, quelle pipette j’avais décidé d’utiliser ? L’une des plus connues.
Le Frontline. On pourra en acheter partout. Notamment les pharmacies, les centres commerciaux, les boutiques animalières. En revanche, certains vétérinaires ne le vendent plus.
Le mien m’a d’ailleurs recommandé de l’éviter car les molécules étaient devenues obsolètes. À l’image de certaines bactéries devenant résistantes à des antibiotiques, le fipronil avait lui aussi subi la résistances des parasites, au cours du temps.
Je me suis alors décidé de m’orienter vers les produits phytosanitaires naturels.

J’ignore s’il est vraiment efficace. Mais ça a marché un temps. Ma situation était complexe, car dans mon cas, je devais éradiquer une invasion à la maison.
Je recommande donc d’employer la pipette naturelle pour repousser les puces, comme c’est indiqué sur l’étiquette.
Si vous êtes déjà acculé de toutes parts, passez à l’artillerie lourde.
Solution : le comprimé
Comprimé
Je me suis donc tourné vers le comprimé, comme me l’a conseillé mon véto.
D’une, parce qu’il s’agissait d’un mode de prescription simple et qui avait fait ses preuves. Ra-di-cal.
De deux, il faut préciser que le Credelio contient des molécules chimiques de type pesticides très efficaces. Oui… c’est pas naturel. Oui, il existe potentiellement des effets secondaires, comme pour n’importe quelle substance.
Mais dans un contexte compliqué comme le mien à ce moment-là, pas le choix. Les mesures devaient s’annonçaient rapides et productives.
Et sinon, y a-t-il une pipette contenant une molécule aussi active et redoutables contre les petites bebêtes ? Non. Selon mon expérience, j’en connais pas. Il est proposé cependant un collier destiné à repousser les intrusions.
Molécule : le dympilate
Le collier
Le collier antiparasitaire est un grand classique. Celui contenant du dympilate en revanche ne répond pas à mes objectifs. Mon but étant de retirer un maximum de produits chimiques, surtout ceux ayant cours en tant que pesticides dans le domaine agricole.
Ils font preuve certes, d’une très grande efficacité, mais ils sont potentiellement dangereux pour le chat et votre famille à la maison.
Alors en fin de compte, vers quel type de produit se tourner ?
Combiner les molécules
Alterner les molécules
Si vous vous retrouvez dans une situation d’urgence, pas de réflexion hasardeuse ! Allez au plus rapide et au plus efficace : adoptez les produits chimiques, comme le Credelio en comprimé, pendant genre 3 ou 4 mois. La dose étant de 1 comprimé par mois.
En temps normal, vous pouvez éventuellement employer un mélange nature avec du vinaigre et de la terre de diatomée. Je le fais de temps en temps. L’odeur n’est pas terrible, hein, mais ça va, ça passe.

Par contre désolé, j’arrive plus à retrouver le site où je me l’étais procuré… Je ferais des recherches ultérieures.
Testez le Géraniol et le Margosa en tant que plantes naturelles, avec la pipette. Voyez ce que ça donne à terme. À l’arrivée du printemps et surtout de l’été, je vous cache pas que je donne à mon chat du Credelio, puis je renouvelles mes solutions naturelles vers la fin de l’automne.
Voilà, j’espère que mon témoignage vous aura servi !

Fethi Hachemi passionné par l’univers félin, donne des solutions pour aménager l’espace de son animal, améliorer son alimentation, tout en créant un environnement équilibré, sain et fun. Il apporte par ailleurs des idées variées, pour vivre en bonne entente avec son chat.