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Quelle est la différence entre une croquette avec et sans céréales ? Que peut-on conclure à propos des ingrédients que l’on retrouve dans la première ? Trouver la meilleure croquette, c’est déjà pas une évidence. Mais selon qu’elle contienne des céréales ou pas peut sembler davantage difficile. En réalité, ça ne l’est pas tant que ça, si l’on s’en tient à la question des glucides.
Pourquoi choisir des croquettes sans céréales ?
Parce qu’elles contiennent trop de glucides
En trop grande quantité, les glucides peuvent mettre à rude épreuve le pancréas et potentiellement porter atteinte à l’ensemble du système régulateur de l’alimentation et de la digestion (foie, reins, vessie).
Dans l’idéal, on ne doit retrouver aucune protéine végétale, ou dans une infime proportion par rapport à celle qui est animale. Par ailleurs, si le ratio glucides/Protéines est trop défavorable au second, on risque de déséquilibrer la flore intestinale, empêchant le développement du butyrate, source d’énergie localisée dans les cellules épithéliales. Voilà ce qu’il faut savoir.
Qui suis-je ?
Depuis que j’ai un chat, j’explore son univers. Au fil des années, j’ai acquis une longue expérience et une expertise qui s’enrichit régulièrement. En étudiant de plus près les enjeux commerciaux et en me documentant sur les études approfondies de la nutrition, mes résultats vous dévoileront la sincérité de mes démarches pour vous offrir les meilleurs conseils en la matière.
En savoir plus.
Meilleure croquette sans céréales
Moins de 10% de glucides
+ de protéines animales. Aucune légumineuses ni céréales. Aucun fruit. Cette croquette ne contient aucune céréales. Même si elle contient de la patate douce, je vais vous expliquer pourquoi cela représente le meilleur compromis.
Car en définitive, les croquettes demeurent une solution pratique. Vous recherchez l’alternative destinée à équilibrer votre sens des responsabilités et vos contraintes. À ce propos, j’ai eu l’occasion d’en discuter avec un ancien membre de Selectos, le plus important guide comparatif Européen.
Ils ont mené une enquête approfondie pour savoir s’il était proposé sur le marché, une croquette réunissant les meilleurs ingrédients. À savoir
- une croquette avec le moins de sucres possible
- Un maximum de protéines animales
- Un minimum de sources végétales
Entreprise qui s’avérait difficile, car chaque fois que l’on examinait la composition d’un produit, un critère manquait à l’appel. Avec de la ténacité, les recherches devaient aboutir à une croquette dépassant mes propres espérances… Pourquoi la croquette Amikanos est celle que vous devrez privilégier ? Voyons d’abord les ingrédients, on justifie par la suite le choix.
Composition
Poulet séché 64%, patate douce 8%, dinde séchée 7%, graisse de poulet, cellulose, oeufs frais 3%, bouillon de poulet, graisse de canard, graisse de dinde, minéraux, vitamines, psyllium, FOS, MOS, Nucléotides.
Le FOS et le MOS contribuent à compenser l’absence de fibres issues notamment de la céréale, mais elle permet simultanément de supprimer une grande partie néfaste de glucides. Ils favorisent les bonnes bactéries au détriment des mauvaises. D’un point de vue digestibilité, il s’agit d’un point fondamental.
Glucides et transparence
Passons maintenant au sujet sensible concernant les croquettes : le glucide. Il faut reconnaître à ce titre, qu’Amikinos fait preuve d’une grande transparence. Il est bien précisé sur le site, que l’objectif poursuivi consistait à développer la croquette possédant le minimum de glucides.
Enfin, vous l’aurez remarqué… Les protéines animales constituent les ingrédients essentiels de la croquette Amikinos. En fin de compte, cette marque mutualise toutes les qualités. Beaucoup de protéines animales, très peu végétales, pas de fruit ou de légumes, ce qui est un gage crucial pour ne pas perturber la qualité nutritionnelle du chat.
Même si l’index glycémique de la pomme de terre douce ne représentait pas la panacée, elle en constitue néanmoins l’ingrédient minimum à utiliser pour produire la croquette. En effet, il nous fallait concilier les exigences de production avec celles d’une meilleure nutrition. La pomme de terre douce ayant une charge glycémique inférieure à celle de la pomme de terre normale, et présentant les atouts nécessaires pour la fabrication, elle représentait par conséquent un outil déterminant.
Responsable communication chez Amikinos.
Pourquoi des céréales ?
Parce qu’elles permettent de réduire le coût de fabrication de la croquette.
En principe, le grand public considère le chat comme un carnivore, à juste titre. Les industriels de l’alimentation féline vont alors concevoir leur packaging, en valorisant en premier lieu la viande et ses bienfaits. Mais qu’est-ce qui se cache en réalité derrière ce que l’on voit ?
Les fabricants rajoutent des céréales non pour des soucis de nutrition, mais bien parce que les glucides leur sont d’abord indispensables à la fabrication de croquettes. Or les céréales représentent pour les fabricants une matière première bon marché. D’abord celle qui leur donnera le liant nécessaire pour produire la croquette. Ensuite comme source de protéine permettant de jouer sur la quantité. Le point négatif réside dans l’index glycémique trop élevé des céréales.
Alors, faut-il naturellement s’orienter vers les croquettes sans céréales ?
Quel intérêt du sans céréales
Aucun… Ou presque
Ces derniers contiennent de l’amidon et du fructose. Il s’agit là aussi d’un sucre. Pour le premier, non des moindres puisqu’il est formé d’une chaîne complexe de glucides. Or, le chat ne possède pas d’enzyme digestive lui permettant de les assimiler, comme l’homme ou comme d’autres animaux herbivores.
La question des glucides
Le chat ne possède pas de fructokinase hépatique, une enzyme nécessaire au métabolisme des sucres simples (ex : sucres issus des fruits)
Charlotte Garot, thèse de doctorat, 2019.
À l’image de tous les carnassiers, cette enzyme digestive n’est d’aucune utilité pour le chat, puisque qu’il ne mâche pas. Sa morphologie consiste à provoquer des morsures, déchiqueter la viande et avaler. Les premières phases digestives se déroulent dans l’intestin, mesurant environ 3 fois la longueur du corps.
À l’inverse, un herbivore possède un tube en moyenne 30 fois plus long. Soit à peu près 10 fois plus qu’un carnivore, proportionnellement. Les glucides appartiennent à une famille de nutriment complexe, nécessitant une phase digestive de plus grande importance.
C’est donc un non sens de vouloir faire ingérer de telles molécules au chat, en grandes quantités. Et c’est là que se trouve l’ironie. L’important n’est pas de savoir si vous devriez donner une croquette avec ou sans céréales. Vous devriez plutôt regarder où se trouvent les glucides en grandes quantités.
Imaginez une seconde l’histoire fictive suivante : les croquettes ont toujours été faîtes avec des pommes de terre. Un jour, certains se seraient révoltés en dénonçant cette pratique. On aurait alors vu une nouvelle filière se créer avec des croquettes contenant des… Céréales. En les nommant « croquettes sans pommes de terre »… C’est exactement le même problème.
Vous comprenez où je veux en venir. Ce n’est pas le type d’aliment qui devrait faire polémique, mais sa composition principale qui est le glucide. La céréale en contient une trop grande proportion. Mais la pomme de terre aussi. L’une ou l’autre, ces deux-là accusent un indice glycémique très élevé. J’ai indiqué maïs, riz et blé avec une flèche, car ils représentent l’ingrédient habituel des croquettes. On peut cependant également y retrouver de l’orge.
Ok. Après avoir lu tout cela, peut-être que vous vous demandez si les glucides constituent vraiment un élément néfaste pour les chats…
Est-ce que la consommation de glucides est dangereuse ?
En vrai, je me méfie des certitudes, mais j’ai ma p’tite idée. Car j’ai été obligé de creuser la question. Le truc, c’est que… C’est compliqué, tout bêtement. Il vous aura pas échappé que le sujet des glucides dans l’alimentation représente une somme de connaissances et de compétences qu’il m’est impossible de présenter. Ni vétérinaire, ni biologiste, je n’ai pas les bagages scientifiques suffisants pour évaluer les études publiées dans le domaine.
Un thème aussi vaste relève de plusieurs disciplines. Comme la médecine vétérinaire, la nutrition, la biochimie, l’immunologie… Autant de catégories qu’il m’est juste impossible de maîtriser. Néanmoins, mes différentes lectures à ce propos, le croisement des sources y compris celles anglo-saxonnes, l’expérience acquise, ma capacité à évaluer les arguments, la consultation de documentaires, puis finalement le bon sens, m’ont conduit à forger un avis global.
– Parce qu’il s’agit d’un marché pesant plusieurs milliards d’euros
– Car de nombreux vétérinaires sont en désaccord sur la politique avec les grands groupes industriels de l’alimentation animale
– Étant donné qu’il n’existe aucun autre moyen en dehors des glucides pour produire une croquette
– Qu’il est par conséquent raisonnable de penser l’impossibilité d’établir un consensus, remettant en cause la présence de ces glucides en si grandes quantité
– Que c’est pas l’Etat qui irait financer une vaste étude destinée à faire la lumière sur la malbouffe animale, déjà qu’il a du mal à gérer celle des Humains
– Attendu que, les études effectuées sur le diabète de type II félin dit « diabète sucré » se contredisent
– Qu’après tout, la sagesse nous montre que la nature a doté le chat d’une biologie conforme à celle d’un hyper-carnivore, et que l’alimentation désigne un facteur essentiel de la santé, comme chez l’homme
J’affirme à la lumière de ces éléments, que les glucides, les céréales et autres sources dont elles sont issues constituent un risque non négligeable pour la santé féline. Qu’il faut le cas échéant, se diriger vers des croquettes possédant un taux de glucides inférieur dans l’idéal à 10%, et au moins à 20%.
Calcul taux de glucides
Pour le calculer, voici une méthode que j’ai apprise, grâce à Gilles Vouillon de l’association Alertes croquettes, et que je vous transmets à mon tour. À part quelques exceptions, les producteurs n’indiquent jamais le taux de glucides. Il faut donc le déduire en prenant comme nombre de départ 100. C’est le pourcentage total du contenu.
La méthode consiste à soustraire au fur et à mesure les différents nutriments et éléments marqués sur la liste des ingrédients.
Exemple avec un sachet Royal Canin
- Protéines : 27 %
- Matières grasses : 13 %
- Cendres : 7,3 %
- Cellulose ou Fibres : 4 %
- Humidité : 10 % (l’information n’y est pas, donc je mets par défaut 10)
Je calcule : 100 – 27 – 13 – 7,3 – 4 – 10 = 38,70 % de glucides.*
* Sous réserve des informations indiquées par le fournisseur.
C’est juste énorme… Vous en conviendrez.
La norme étant d’avoir un taux inférieur à 30 % pour constituer moins de 1/3, qui fait déjà beaucoup, là ils sont largement dépassés. On comprend qu’ils évitent de marquer cela, ça ferait désordre…
Reprenons le fil de mon enquête, car je désire compléter mon article avec une information importante, en lien avec la taille du tube digestif des carnivores.
J’ai approfondi la question et j’ai découvert que le milieu intestinal révélait quelques informations capitales, pour la compréhension des potentiels problèmes que les glucides entraineraient.
Microbiote
Fibres, glucides et protéines
Comme tous les mammifères, le chat dispose d’un microbiote. On y retrouve Bactéries + Virus + Champignons + Protozoaires. On sait depuis longtemps que le milieu intestinal constitue un environnement riche influençant la santé de l’hôte. Il semble indéniable qu’une mauvaise qualité puisse donner lieu à des maladies chroniques (voir grand I).
Insuffisance rénale, affections cardiaques, atteintes neurologiques, diabète, obésité… Autant de morbidités qu’il est essentiel de prévenir sous l’angle du bien-être intestinal. Si j’ai indiqué en sous-titre fibres, protéines et glucides, c’est bien parce que chacun de ces nutriments jouent un rôle majeur dans l’équilibre microbien du microbiote félin.
Rassurez-vous, nous n’évoquerons que ce qu’il est intéressant de retenir sans entrer trop dans les détails. Tout cela bien évidemment dans le cadre de ma critique des glucides, fournis à mes yeux, en trop grande quantité dans l’alimentation féline, notamment par l’introduction de céréales, ou par extension de pommes de terre de fort indice glycémique.
Déséquilibre de la flore intestinale
Hills pet à ma grande satisfaction, rajoute que dans la nature, le chat prélève une proie entière. À cet égard, il va y puiser toutes les sources utiles au fonctionnement normal de son organisme.
En d’autres termes, un individu sauvage est capable de se maintenir en bonne santé car plumes, peau, poils, tendons, os, bec et cartilage divers font office chez les carnivores de fibres. D’où l’attention que je porte à mon compagnon lorsque j’ai choisi le BARF… Tête ou cuisse de caille garnissent souvent sa gamelle.
Or, suivez-moi bien…
Même s’il peut paraître « louable » (remarquez les guillemets) de la part d’industriels de la croquette, de rajouter céréales ou éléments de fibres destinés à fournir un bon transit et toutes les substances nécessaires à l’équilibre nutritionnel, la part trop importante de glucides par rapport aux protéines animales, contribuerait à désactiver des mécanismes vitaux du milieu intestinal.
Butyrate
Butyrate was not detectable when hydrolysed collagen was fermented in high carbohydrate inoculum ⇒ Le butyrate n’était pas détectable lorsque le collagène hydrolysé avait été fermenté dans un inoculum riche en glucides
Source : National Library of Medecine, Résumé Butowski, C. F., Thomas, D. G., Cave, N. J., Bermingham, E. N., Rosendale, D., Hea, S., Stoklosinski, H., & Young, W. (2022). In Vitro Assessment of Hydrolysed Collagen Fermentation Using Domestic Cat (Felis catus) Faecal Inocula. Animals, 12(4), 498. https://doi.org/10.3390/ani12040498
Est-ce que vous avez saisi ? Oook… si c’est pas clair, arrêtons-nous 2 minutes sur ce point. Le butyrate est un AGCC (il en existe plusieurs). Soit, Acide Gras à Chaine courte. Sa production est stimulée grâce à l’apport de fibres. Il valorise le milieu intestinal des chats, des mammifères et notamment des êtres humains.
Chez les carnivores, les fibres sont véhiculées avec certaines protéines animales. Ce qu’en anglais on appelle ADFS, Antioxidant dietary fibers, que l’on peut traduire par Fibres Alimentaires Anti-oxydantes, correspondra chez les chats aux éléments de cartilage, d’os, peau, collagène (soit tout le contraire chez l’Homme, qui lui l’obtiendra dans les fruits, légumes et céréales).
The gastrointestinal microbiome of domestic cats can use dietary fibre to produce beneficial fermentation end products such as butyrate, an energy source for intestinal cells ⇒ Le microbiome gastro-intestinal des chats domestiques peut utiliser les fibres alimentaires pour obtenir des produits finaux de fermentation bénéfiques tels que le butyrate, une source d’énergie pour les cellules intestinales
Source : National Library of Medecine, ibid
Question… Comment remplacer alors les fibres des céréales et de la souris dans les croquettes ? Ouuuiii ! Je sais vous l’attendiez celle-là. Mais, avant de vous donner la réponse, revenons d’abord à Hills Pet.
Je suis en accord sur toute la ligne avec eux. Leur présentation est conforme à ce que je connais de l’alimentation féline. Hormis le fait que le calcul des composants analytiques des croquettes, révèle d’importants taux de glucides : près de 40% !
Cela défavorise les précurseurs de l’AGCC (bactéries) et diminue potentiellement la production d’énergie des cellules épithéliales. Ainsi, une étude du département sciences de l’université du Texas, s’interroge sur la fermentation des glucides.
Those findings bring into question whether bacteria that specialize in carbohydrate fermentation bring the same benefits described in omnivores to the carnivore GI tract
⇒ Ces découvertes remettent en question si les bactéries spécialisées dans la fermentation des glucides apportent les mêmes avantages que ceux décrits chez les omnivores au tractus gastro-intestinal des carnivores.
Source : SciencesDirect, Pilla, R., & Suchodolski, J. S. (2021). The gut microbiome of dogs and cats, and the influence of diet. Veterinary Clinics of North America: Small Animal Practice, 51(3), 605–621. https://doi.org/10.1016/j.cvsm.2021.01.002
Ils constatent également qu’il est possible qu’une alimentation crue des carnivores favorisent le développement des butyrates.
It is possible that in carnivores the butyrate production may be at least partially accomplished by other bacterial species such as members of the Clostridiaceae and Fusobacteriaceae families, which could be the reason for their increase in dogs fed raw diets ⇒ Il est possible que chez les carnivores, la production de butyrate soit au moins partiellement réalisée par d’autres espèces bactériennes telles que les membres des familles Clostridiaceae et Fusobacteriaceae, ce qui pourrait être la raison de leur augmentation chez les chiens nourris avec des aliments crus.
Source : SciencesDirect, ibid
Puis complètent leurs réflexions en découvrant que le rapport protéines/glucides avait son importance.
the protein:carbohydrate ratio has a significant effect on microbiome function ⇒ le rapport protéines/glucides a un effet significatif sur la fonction du microbiome.
Source : SciencesDirect, ibid
Comme on peut le voir, le butyrate et par extension protéines, glucides et fibres végétales peuvent influencer la qualité du métabolisme intestinal. Les différents tests in-vitro ont montré que l’ajout de fibres végétales dans n’importe quel type de ration, diminuait les précurseurs d’AGCC.
L’ensemble de la documentation m’a permis d’élaborer des pistes de réflexion intéressantes. C’est là qu’on va savoir ce qui pourra remplacer la fibre végétale dans les croquettes, en dehors des céréales et de l’AFDS (fibres animales).
En conclusion
- Amikinos rajoute dans les ingrédients, FOS, MOS, et psyllium. Il s’agit d’un prébiotique pour les deux premiers. D’un laxatif léger pour le troisième. C’est cela qui permettra de remplacer les fonctions biologiques de la fibre contenu dans les céréales, légumes et autres sources végétales. Il permet d’entretenir les bonnes bactéries dans le microbiote et sera donc une source contribuant à fournir les AGCC utiles. Même s’il s’agit pour le FOS et le MOS de glucide, ils correspondent dans les constituants à un infime pourcentage. Le psyllium optimisera l’ensemble
- Je le précise quand même… Le glucide pour les chats n’est pas mauvais en soi, puisqu’ils en trouvent dans la nourriture en milieu sauvage. C’est juste que les croquettes en possèdent généralement en trop grande quantité. Les glucides jouent un rôle certain dans le métabolisme des félins. Une souris ne contient cependant que 3% de glucides au total… Bien loin des presque 40% de la croquette Hills Pets (et de nombreuses autres marques). C’est cela qui peut entrainer des conséquences malheureuses sur la santé
- Quelque soit la marque de croquettes sans céréales que vous choisirez, calculez le taux de glucides et regardez si des probiotiques ont été ajoutés
- Alors… Est-ce que vous avez pu vous faire une opinion sur le sujet ?
Fethi Hachemi passionné par l’univers félin, donne des solutions pour aménager l’espace de son animal, améliorer son alimentation, tout en créant un environnement équilibré, sain et fun. Il apporte par ailleurs des idées variées, pour vivre en bonne entente avec son chat.
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